Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Gestion des cookies
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Jacques Viger (1787-1858) fut en son temps un personnage considérable. Ce bourgeois montréalais fréquentait tous les gens qui comptent, aussi bien son cousin Mgr Lartigue, évêque de Montréal, que son grand ami Louis-Joseph Papineau, le chef des Patriotes. Reconnu comme un érudit, Viger s’intéressa aux domaines les plus divers : histoire, archéologie, statistique, lexicographie, héraldique, etc. Fonctionnaire méticuleux, il réalisa le recensement de Montréal en 1825. Il fut aussi officier de milice. Et il collectionna un nombre impressionnant de premières : il fut, en 1833, le premier maire de Montréal, dont il dessina les armoiries, le premier président, en 1834, de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal et le président fondateur de la Société historique de Montréal, en 1858. Léo Beaudoin présente ici une biographie étoffée de ce nationaliste modéré qui a été quelque peu oublié et, avec lui, c’est tout le milieu extrêmement dynamique du Montréal de la première moitié du XIXe siècle qui revit.En annexe, Renée Blanchet donne le texte qu’elle a établi et annoté de la correspondance entretenue par Jacques et Marguerite Viger, un document très intéressant qui couvre, entre autres, la période de la guerre américano-britannique de 1812.