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Actualités

Quelles nouvelles ? Les ‘fake news’ et autres intox n’ont, bien sûr, pas leur place ici. Notre rubrique actualités ne contient que de vraies informations et des choses utiles à savoir. Vous les verrez défiler par ordre chronologique sur cette page. Vous êtes accro aux infos ? Ou plutôt sélectif en la matière ? Décidez vous-même de ce qui vaut la peine d’être lu. Inscrivez-vous à notre newsletter et vous recevrez toutes les nouvelles (et infos utiles) qui vous intéressent dans votre boîte mail.

disney 100 ans

100 bougies pour Disney !

100 bougies pour Disney !      Le 16 octobre 1923, Walter Disney fonde son premier studio d’animation en compagnie de son frère Roy. Initialement baptisé Disney Brothers Cartoon Studio, le célèbre studio hollywoodien réussit à s’imposer en 1928 avec Mickey Mouse, un des premiers dessins animés sonorisés.   Dans le nouveau numéro de la revue Dada, retrouvez des articles retraçant l’histoire du studio, ses innovations et les secrets de fabrication de ses films à travers des analyses thématiques. Pour en savoir plus, plongez dans le coffret paru pour rendre hommage aux 100 ans de Disney et découvrez des analyses, des anecdotes et des interviews sur le Studio Disney et le Studio Pixar, rachetés par Disney en 2006, leurs spécificités techniques et mettant en avant leurs auteurs.     Classée parmi les trois plus importantes sociétés de divertissement, la firme américaine continue de parler à toutes les générations avec ses personnages emblématiques et ancrés dans la culture populaire. (Re)découvrez Disney en vous munissant du Guide visuel ultime enrichi pour régaler vos mirettes avec des illustrations et des photos rares issues des archives de la Walt Disney Company. Un album retraçant plusieurs aspects. Notamment, l’histoire du studio, ses oeuvres et le développement des parcs.               

49 articles

  • pierre kroll

    Tête à tête avec Pierre Kroll

    Pierre Kroll   Signe ou trait de caractère particulier : Je suis bavard et je donne beaucoup de ma personne. Votre livre de chevet : Le dernier Frédéric du Bus, le dernier Nicolas Vadot, « Napoléon : l’ombre de la Révolution » de Bart Van Loo et « La Belgique de demain » d’Olivier Mouton et Bruno Colmant. Le livre que vous voudriez recevoir en cadeau : Le nouveau Gaston. Le livre qui vous a le plus touché : L’intemporel « Les Racines du ciel » de Romain Gary.   Nous avons le plaisir de retrouver vos caricatures dans le journal Le Soir quotidiennement et dans le Ciné Télé Revue hebdomadairement. Un exercice exigeant qui vous demande de travailler sur le fil et d’être au courant de l’actualité en permanence. Comment est-ce que vous arrivez à être à jour au niveau de l’actualité et à rester informé ? Il faut dire que, comme tout ce qui relève du professionnel, à un moment il y a un entraînement qui rend la chose un peu moins difficile que l’on pourrait le croire. On me demande parfois si je lis le journal tous les jours. Je réponds que si j’étais dentiste, je crois que je lirais le journal tous les jours aussi, car l’actualité m’intéresse. Quand on en fait un métier, il ne faut pas tout lire. Dans un journal, je parcours moins de choses que vous, parce que tout est à peu près un feuilleton. Je prends les éléments nouveaux, sans avoir besoin de me replonger entièrement dedans. Je comprends vite. Et pas parce que je suis très intelligent – ce qui est possible aussi, mais parce que je suis entraîné. C’est moins lourd qu’il n’y paraît, car je suis baigné dedans. Par exemple, j’écoute la radio et je ne regarde presque pas les JT. Cela peut paraître étonnant, mais quand le journal arrive entre 19 heures et 20 heures, presque tout a été dit pendant la journée. Donc quand vous êtes tout le temps dedans, c’est effectivement prenant, mais ce n’est pas comme un effort constant. C’est plutôt un bruit permanent. Et quant à l’idée d’avoir un dessin à faire tous les jours, ça peut être une corvée, un boulet, car je ne dois jamais l’oublier. J’ai dessiné sur des parkings d’autoroute, dans des restaurants et partout où c’était possible parce que j’ai ce dessin à faire tous les jours avant 20 heures, 21 heures au plus tard, mais je remarque que la qualité du défaut est la satisfaction du travail qui est fait, même s’il n’est pas toujours bon. Pouvez-vous choisir librement vos sujets ? À peu près. J’ai une discussion tous les jours avec la rédaction du journal qui me dit en somme ce qu’il y aura dans le journal à paraître. C’est rarement des scoops, même s’il y en a, mais souvent il s’agit de la suite des choses que j’ai entendues dans la journée. Donc parfois, dans ces conversations je dis « J’ai une idée pour demain ! Est-ce que vous parlez bien de ceci ? Parce que je voudrais faire un truc sur ce sujet que j’ai entendu ». Très souvent j’amène moi-même le sujet et on me dit oui. Et parfois le journal me dit « Il faudrait que tu dessines sur ça ou ça, parce que c’est un gros sujet dont on parle ». Voilà pourquoi je dis à peu près, car on ne m’impose pas de sujet, jamais. Une sélection de vos caricatures est exposée à côté d’autres grands noms lors de l’exposition "Enjeux humains", qui rassemble des dessins de presse belges et internationaux avec pour objectif d’interroger l’état des droits humains ici et ailleurs. Alors que nous vivons régulièrement des réactions directement liées à la liberté d’expression, les caricatures suscitent la controverse. Quel est, selon vous, le rôle de la caricature dans le contexte sociopolitique actuel ? Même quand elle est parfaite pour être provocante, la caricature a quelque chose d’interpellant, parce que le message est assez immédiat : il y a une image qui dit parfois des choses très simples et parfois des choses complexes. Souvent sans nuances (je m’en plains un peu, car c’est parfois frustrant de ne pas pouvoir apporter des nuances) et cela fait donc réagir. Et avec « Enjeux humains », nous rappelons que quantité de droits de l’Homme ne sont pas respectés dans quantité de pays dans le monde. Et ça, par des dessins, c’est une exposition assez pédagogique qui est faite un peu pour les écoles, pour les jeunes qui ne se posent pas les questions de la même manière que leurs aînés sur les droits humains. Pour faire le lien, j’ai une exposition personnelle dans laquelle je parle du métier et dont les dessins ont été choisis par un graphiste. Elle se situe à Spa et s’appelle « Pierre Kroll lance des bouteilles à la mer ». Si on a choisi cette métaphore, c’est parce que quand je fais une dessin, j’envoie un message, mais je ne sais finalement pas à qui, ce que les gens vont en penser, ni quand il sera lu. Comment gérez-vous les réactions négatives ? Avez-vous déjà eu peur après la parution de dessins et dans quelles circonstances ? La peur de ne pas être compris est permanente – mais pas très grave – et elle intervient dans l’inspiration d’un dessin. On se demande si tout le monde va comprendre l’intention. Essayer de comprendre ce que le dessinateur a voulu vous dire, c’est ça la clé de la lecture d’un dessin. Si c’est compliqué, c’est que le dessinateur est mauvais ou que le lecteur n’est pas assez informé sur l’actualité. La peur d’avoir des ennuis m’est déjà un peu arrivée dans les pires moments que nous avons connus, mais généralement je sais très bien pratiquer le « Il faut faire comme si ça n’existait pas », sinon on n’en sort pas et on va être tout le temps amené à se demander si on peut faire ceci et qui on risque de choquer si on fait cela. Il ne faut pas tout le temps s’en tracasser. Je vis très bien comme ça. Le 26 octobre dernier paraissait votre bande dessinée annuelle « Le vrai du fou ». Opus qui, comme chaque année, retrace l’actualité de l’année écoulée. Comment s’est passée cette année, comment l’avez-vous vécue ? Quels ont été les éléments marquants de 2023 ? Malheureusement, les événements marquants, vous les connaissez. L’année dernière, nous nous sommes retrouvés avec une guerre pas loin de chez nous : l’invasion de l’Ukraine par la Russie. Ce ne sont accessoirement pas des sujets faciles à traiter en dessin. Et cette année, elle se termine avec le conflit israélo-palestinien, que je n’ai pas pu traiter dans mon livre, puisqu’il faut terminer ces livres en septembre pour qu’ils soient imprimés et mis en vente en fin d’année. Heureusement, il s’est passé des choses amusantes et drôles à regarder et à dessiner. Le couronnement de Charles III en Angleterre, par exemple. L’actualité est un mélange d’horreurs et de choses amusantes. Et le métier est de dessiner les deux. Le livre fait aussi une forte référence à tout ce qui touche à l’intelligence artificielle. Ce n’est pas une actualité en elle-même, mais le sujet est venu à plusieurs moments dans l’année. On en parle beaucoup, on en parlera encore beaucoup à l’avenir et c’est pour cela que c’est le sujet que j’ai mis le plus en évidence en couverture et qui tient un peu lieu de fil rouge dans mon livre. Pourriez-vous nous dire quelle est votre planche préférée ? Et pourquoi ? Question piège ! J’hésite entre plusieurs planches, mais au niveau du dessinateur que je suis, ma préférée est sans doute le pastiche d’une couverture connue d’un disque des Beatles où ils traversent sur un passage piéton. On y retrouve deux membres qui sont en vie et les deux autres qu’on fait revivre par l’intelligence artificielle ou des republications. Cette année encore, vous revenez sur les planches avec votre spectacle « Kroll sur son 31 ». L’opportunité de vous rencontrer autrement. Comment ce projet est-il né ? Que vouliez-vous partager avec le public ? Au départ, je n’avais jamais eu l’intention de faire de la scène. Mais après les attentats de Charlie Hebdo, j’avais beaucoup de demandes d’interview pour parler du métier. Suite à cela, j’ai appelé mon ami Bruno Coppens, qui m’avait déjà incité à faire de la scène, pour parler d’un spectacle qui répondrait à toutes les questions qu’on me pose tout le temps, mais de façon intéressante. J’ai joué avec une affiche intitulée « Kroll, 10 villes, 10 dates », croyant jouer dix fois et que j’aurais intéressé tous ceux que ça intéresse. À ce jour, j’ai joué ce spectacle 85 fois dans des salle remplies. C’est un succès qui m’a dépassé. Après 85 fois, nous sommes venus avec autre chose. On a eu l’idée de faire comme les livres dans lesquels on revient sur l’année avec des dessins. À la différence que sur scène, je peux ajouter ce que je n’ai pas mis dans le dessin, je peux parler d’un dessin que je n’ai pas fait et parler des réactions qu’un dessin a provoquées. À l’instar de la bande dessinée annuelle ou des agendas, allons-nous vous retrouver chaque année sur scène ?  Suspense ! Je ne sais pas. Peut-être avec autre chose sur la scène qu’avec les revues de fin d’année, mais si vous applaudissez beaucoup, je continuerai l’année prochaine ! Pour clore cet entretien, pouvez-vous partager un projet, une caricature récente ou une anecdote  qui vous a particulièrement marqué ou dont vous êtes fier ? Je peux déjà vous partager mon stress et mon inquiétude concernant la façon dont je vais commencer mon album de l’année prochaine. Il y en aura certainement un et il commencera sans doute sur la guerre Israël/Hamas, dont je ne sais pas comment elle tournera. C’est un sujet marquant qui me désespère déjà et je ne sais pas encore comment je vais pouvoir dessiner.      Retrouvez "Le vrai du fou" sur notre site  
  • Leslie

    Tête à tête avec Leslie Winandy

    Leslie Winandy  (Photo  ©Tess Meurice) Âge : 39 ans Sa devise : La cuisine au beurre, c’est la cuisine du coeur. Ses lectures du lectures du moment : Le théorème du Vakita de Hugo Clément / La prochaine fois que tu mordras la poussière de Panayotis Pascot / Rose & Massimo de Félix Radu  Ses 3 coups de cœur littéraires : Le petit Didier de Joey Starr / Le bal des folles de Victoria Mas / Harry Potter de JK Rowling  La rencontre de sa vie : Mon mari, Pierre Sa recette inavouable : Les petits pains de Brie de mon mari justement. Un mélange de pain, jambon blanc, brie, crème et cornichons. Ne me demandez pas pourquoi mais cette recette très bizarre à la lecture est vraiment délicieuse. C’est ce que j’appelle de la confort food de luxe. (Rire) Sa madeleine de Proust : Les gaufres 4 x 4 de ma grand-mère  Ses adresses coups de cœur en Belgique : ` Fernand Obb, une friterie où tout est fait maison, même la fricadelle ! L’autobus à Visé. Une cantine de village où vous pouvez déguster de délicieux boulets liégeois. C’est la que je me rends quand j’ai besoin de me remonter le moral après une journée difficile. Frasca à Bruxelles au Chatelain, pour ses pâtes fraiches et ses produits bio de qualité. Cheffe belge connue grâce à Duels en cusine, son blog et sa présence sur nos chaines de télévision, Leslie vous partage une recette pour des fêtes réussies. D’où vous est venue l’idée de proposer des recettes abordables pour le quotidien avec « Qu’est-ce qu’on mange ce soir » ? J’avais écrit le Pitch d’une émission tv, et je lui cherchais un nom. Un soir, on se prend la tête avec mon mari sur le fameux repas du soir et il me crie avec ferveur «  On a le nom de ton émission ! ». Qu’est -ce qu’on mange ce soir était né.   Quel est votre futur projet après ce deuxième livre ? Je deviens animatrice d’une émission YouTube en France où je vais mettre en avant des personnes ordinaires au destin extraordinaire. Pour quelqu’un qui aime l’humain comme moi, ce projet est venu comme un cadeau du ciel. Il y aura de la magie, de l’humour, des belles histoires et bien sur de la cuisine !   Qu’est-ce que vous mangez ce soir ?  Ce soir je serai dans l’avion sur le retour de Biarritz et j’aurai mangé une belle assiette de jambon de chez Louis Ospital avec quelques piment et un bon pain au levain avant de partir. Je déteste ce qu’on propose comme nourriture dans les aéroports. Je m’arrange toujours pour manger avant.     Retrouvez la recette du tartare de Saint Jacques dans notre Club Mag de fin d'année page 57 !     © Alexandre Bibaut Retrouvez "Qu'est-ce qu'on mange ce soir ?" sur notre site  
  • auzou 50 ans

    Auzou fête ses 50 ans !

    Auzou fête ses 50 ans !                             Une entreprise familiale et indépendante  La maison Auzou a ouvert ses portes en 1973. En compagnie de son épouse, Philippe Auzou procède, cette année-là, à la création d’une maison d’édition indépendante qui portera son nom et qui aura pour ambition de mettre le savoir à disposition du grand public. Dans un premier temps, la marque se spécialise dans les ouvrages de référence tels que les encyclopédies et les dictionnaires. C’est ABC Médecine qui ouvre le bal. Bien reçue par les lecteurs, l’encyclopédie ABC Droit voit le jour en 1975, suivie d’une autre centrée sur la BD, en 1980. Ensuite, c’est au tour des dictionnaires de paraître dans les années nonante. Durant cette décennie, le fondateur voit grand et développe son activité d’entreprise à l’international. Lorsque son fils, Gauthier Auzou, rejoint l’aventure en 2006, il crée la branche jeunesse qui a propulsé les éditions Auzou au rang de quatrième éditeur du marché jeunesse en France. Au fil des années, la maison s’est développée bien au-delà de l’édition et accompagne les enfants du plus jeune âge jusqu’à l’adolescence. Ayant choisi de mettre la jeunesse au coeur de son objectif éditorial, Auzou a très peu recours aux achats de droits. Son principe repose surtout sur la création, afin de faire découvrir des auteurs et illustrateurs français pour un apprentissage ludique, plein de créativité et surtout accessible, à travers différentes rubriques thématiques adaptées à tous les âges. Notamment, des livres d’éveil, des albums, des romans, des livres interactifs, des livres documentaires, des BD, des jeux, des kits créatifs et une gamme parascolaire et éducative. Loup, la star des éditions Auzou Qui dit Auzou dit Loup, le héros phare des éditions. Un personnage emblématique né en 2009 et qui a connu un premier succès avec Le loup qui voulait changer de couleur. À ce jour, Loup existe non seulement dans les livres, mais également en dessin animé, en jouet et en peluche. La star des enfants, parfois un peu bougonne, est aimée pour son coeur tendre et ses ressources éducatives. Une figure attachante qui croque la vie à pleines dents et que vous pouvez retrouver dans plusieurs collections. Sans oublier P’tit Loup qui aborde des sujets tels que le passage au pot, le brossage des dents et autres sujets d’hygiène ainsi que du contenu d’apprentissage.   Les romans Auzou Les premiers romans, à lire dès 6 ans, sont arrivés un peu plus tard, en 2012. Tout a été étudié pour que les enfants prennent du plaisir à lire. Certains ouvrages sont dotés d’informations pour accompagner les enseignants, mais également les parents. Afin de ne laisser personne de côté, des livres à destination des enfants dyslexiques ont également été pensés. Aujourd’hui, le catalogue compte plus de 400 titres avec des séries marquantes telles que Mes premières enquêtes, Le maître des Licornes ou encore Les enquêtes d’Anatole Bristole. Plus tard, le lancement des romans pour adolescents a été une suite logique.            Les loisirs créatifs Auzou En 2013, les éditions Auzou lancent une gamme de bijoux à faire soimême. Plusieurs types de coffrets sont développés, afin de répondre aux différents goûts et budgets : des coffrets DIY pour confectionner des bracelets en liberty, brésiliens, porte-bonheur, des colliers attrape-rêves, en fleurs séchées, etc. Depuis, d’autres kits de création ont été élaborés. Bref, toute une panoplie d’activités qui aident à développer la créativité et l’habileté. Les cahiers de vacances En 2015, Loup revient nous surprendre avec le premier cahier de vacances. En effet, le rayon parascolaire se voit enrichi de cahiers de vacances, de méthodes de lecture, de cahiers de soutien et plus encore. Au programme : des révisions, des bilans pour évaluer sa progression, des aide-mémoire pour aider à la réussite des exercices, des histoires, des jeux pour une pause récréative, des corrigés détaillés et plus encore. Des ouvrages aussi ludiques que pédagogiques, dans le but de renforcer l’apprentissage des enfants en dehors du cadre scolaire.                       Les jeux Auzou Un nouveau domaine voit le jour en 2016. Voulant offrir une nouvelle approche amusante et éducative, la maison Auzou sort sa première gamme de jeux en l’inaugurant par des jeux de cartes. À présent, l’assortiment est également composé de jeux de plateau, de jeux en bois, de puzzles et de peluches. De plus, il existe aussi des coffrets pour se mettre dans la peau d’un détective, d’un archéologue, d’un jardinier ou d’un scientifique. Des outils pour développer l’imagination, tout en apprenant à comprendre le monde et en travaillant sa mémoire et sa dextérité.   Les bandes dessinées En 2021, Auzou se lance dans la création des bandes dessinées avec deux collections. Une pour les enfants âgés de sept ans et plus et l’autre à destination des enfants âgés de dix ans et plus. Une autre manière de continuer à lire tout en profitant de magnifiques dessins. Cherche et trouve ! Grâce aux Cherche et trouve, les enfants, dès un an, aiguisent leur sens de l’observation, étoffent leur vocabulaire et s’amusent en développant leur curiosité.                               La conteuse Auzou Les éditions Auzou continuent de se diversifier. Cette fois, elles mettent une conteuse à l’honneur. À destination des enfants entre trois et sept ans, la boîte à histoires proposera trois heures d’aventures. En effet, les enfants pourront embarquer dans les aventures de Loup, Simon, Moustache, Azuro et Petite Taupe. De nombreuses histoires à écouter sont disponibles à l’achat en deux, trois clics. Un stockage jusqu’à cinquante histoires est possible pour une autonomie entre six et huit heures. La conteuse est intuitive, rechargeable via une prise USB et est facilement transportable grâce à une anse souple et flexible. Le petit plus : Auzou a pensé à intégrer une veilleuse !      
  • 77 ans lombard

    Le Lombard souffle sa 77e bougie

    Le Lombard souffle sa 77e bougie Mythique est son nom et belge est son histoire. Le Lombard fait partie des grandes maisons de bandes dessinées qui ont bercé certaines des plus grandes séries et travaillé avec certains des plus grands auteurs et créateurs du milieu de la bande dessinée franco-belge.     © HERGE-TINTINIMAGINATIO 2023 Une institution belge Georges Lallemand fondent une maison d’édition en 1944 qui prendra le nom des éditions du Lombard en 1946. Localisés à la rue du Lombard, en plein centre de Bruxelles, les trois associés avaient pour objectif de persuader Hergé de se joindre à la création d’un hebdomadaire jeunesse dans lequel actualité et bande dessinée se partageraient la vedette. Acceptant le défi, Hergé en devient le directeur artistique et invite Jacques Van Melkebeke, Edgar P. Jacobs, Paul Cuvelier et Jacques Laudy à s’embarquer dans l’aventure.      Le journal Tintin C’est ainsi que le 26 septembre 1946 paraît le premier numéro du journal Tintin. Imprimé à 60 000 exemplaires, il est épuisé en seulement trois jours. Vivant une époque de reconstruction après la guerre, le journal Tintin se révèle être un support accessible et divertissant. Non seulement les lecteurs voyagent à travers les pages, mais ils font également face à une ligne graphique majoritairement réaliste. De l’aventure et de l’information. En somme, une ligne éditoriale proche de ses lecteurs, distrayante et informative. Son public est large : en effet, il parle tant aux adultes qu’aux plus jeunes. D’ailleurs, le slogan « Les jeunes de 7 à 77 ans » ne vous est sans doute pas inconnu. La célèbre expression est née en 1947. Figurant à l’origine, ce bon mot est devenu l’accroche officielle l’année suivante : « Tintin, le journal des jeunes de 7 à 77 ans ».  © HERGE-TINTINIMAGINATIO 2023 Publiart Le journal Tintin doit également son succès aux « timbres Tintin », un outil promotionnel liant le chocolat Côte d’Or au périodique. Grâce à cette méthode de communication, ce dernier a été introduit chez de nombreux gourmands. Et cette action a permis à Raymond Leblanc – un entrepreneur bouillonnant de projets - de fonder Publiart en 1954, une filiale destinée à traiter les collaborations publicitaires et permettant une gestion des droits dérivés. Cette agence de réclame a été la première à utiliser de manière proactive la bande dessinée pour ses campagnes. Un dispositif de communication étonnamment moderne pour l’époque. Publiart a également servi d’écolage pour plusieurs dessinateurs qui débutaient dans le milieu. Cela leur a permis de gagner leur vie en attendant de se faire un nom. Les albums Le Lombard Alors que le journal Tintin bat des records de vente, la maison d’édition s’engage en 1950 dans la publication d’albums, une activité éditoriale qui n’a cessé de vivre de son succès. L’idée première du Lombard est de rééditer les plus gros succès du journal sous une autre forme, et cela en sollicitant souvent l’avis des lecteurs par référendum. Les premiers titres à paraître d’Hergé et, notamment, Le secret de l’Espadon et Corentin chez les Peaux-Rouges.   Le Building Tintin, un emblème de Bruxelles  En 1958, le siège social élit domicile dans le Building Tintin. Après des années de construction, le bâtiment accueille enfin l’équipe rédactionnelle. Une équipe composée de dessinateurs qui deviendront des légendes. Le nom donné à l’immeuble n’est pas anodin. Le Building Tintin doit son nom à l’enseigne rotative à l’effigie de Tintin et Milou sur le toit. Enseigne qui a été classée « monument historique » en 2004 par le Secrétariat d’État chargé des Monuments et des Sites pour la Région de Bruxelles-Capitale. D’ailleurs, l’édifice apparaît dans Les Aventures mystérieuses et rocambolesques de l’Agent Spatial.      © HERGE-TINTINIMAGINATIO /DARGAUD-LOMBARD 2023 ( Couverture du premier Tintin belge  1 du 26 septembre 1946   Bruxelles, la capitale du dessin animé européen La fin des années cinquante a vu les héros majeurs de la bande dessinée franco-belge se populariser. En 1955, Raymond Leblanc crée les studios Belvision. Mais ce n’est qu’en 1959 qu’il se lance vraiment dans l’animation de ses bandes dessinées. Étant bien entourée et bien équipée, l’aventure animée des albums de Tintin peut commencer ! Suivront plus tard les adaptations animées des Schtroumpfs, Lucky Luke, Astérix, etc. Commençant par de nombreux longs métrages, des films publicitaires et didactiques, Raymond Leblanc exploite les différentes facettes des personnages de bande dessinée qu’il a vu naître. Très vite, Belvision se fait surnommer le « Hollywood européen du dessin animé » et accueille de nombreux illustrateurs et techniciens de l’animation franco-belge. Aujourd’hui, la société de production belge produit principalement de l’animation pour le cinéma et pour la télévision, mais également des films et séries télévisées. Belvision est devenu un acteur incontournable de l’audiovisuel européen.   Empire européen du divertissement Après 42 ans de prospérité, Le Lombard a néanmoins besoin d’un coup de pouce financier.  C’est de cette façon que le groupe Média-Participations vient au secours des éditions Le Lombard en 1988. Tandis que Raymond Leblanc prend sa retraite et que les héritiers d’Hergé récupèrent la gestion du personnage Tintin, les éditions Le Lombard rejoignent le groupe Média-Participations qui, à ce jour, est le principal acteur de la bande dessinée franco-belge grâce à plusieurs grandes maisons d’édition.                © DARGAUD-LOMBARD SA / HERGE-TINTINIMAGINATIO  2023 Des bandes dessinées intergénérationnelles La fin des années quatre-vingt n’est pas de tout repos pour Le Lombard. En 1989, ce dernier se lance dans la publication de deux nouveaux périodiques : le « Week-End » et « Hello Bédé ». Mais malheureusement cela n’a pas l’effet escompté. Les ventes n’étant pas à la hauteur de ses attentes, l’éditeur bruxellois y met un terme au début des années nonante. Néanmoins, Le Lombard survit grâce à ses bandes dessinées à succès, telles que Thorgal, Chick Bill et Ric Hochet. Des noms qui parlent toujours à l’heure actuelleet ce, grâce à la détermination de quelques anciens du journal Tintin. Notamment, André-Paul Duchâteau, Tibet, Jean Van Hamme et Grzegorz Rosinski.  La machine se remet en route Un nouveau souffle s’installe au Lombard ; Peyo accepte de confier l’avenir des Schtroumpfs à l’éditeur bruxellois en 1992. Plus tard, en 1996, le nouveau directeur éditorial, Yves Sente, parvient à faire revenir Derib, Hermann ou encore Cosey (d’anciens auteurs et dessinateurs du journal Tintin), permettant, à l’aube du millénaire, la réalisation de nouveaux projets de bandes dessinées prêts à éclore. Ainsi, l’avenir devient plus clair ; un recentrage sur l’album doit se faire. Comme l’a dit Yves Sente : « Quel que soit le support, ce sera toujours de la bande dessinée ». À présent sous la direction de Gauthier Van Meerbeeck, Le Lombard continue de tracer sa route et nous permet d’entrevoir l’histoire dynamique et pleine d’audace qui se profile à l’horizon, à travers des aventures intenses, des formats novateurs et de nouveaux talents.  Le Lombard a contribué à la création et à l’expansion de la bande dessinée européenne et francophone en la façonnant dans des albums élégants à la couverture cartonnée. Depuis lors, de multiples collections ont vu le jour et continueront d’émerger et d’intéresser « Les jeunes de 7 à 77 ans ».   77 ans, ça se fête ! Cet anniversaire symbolique est l’opportunité idéale pour lancer des festivités diverses et variées afin de célébrer un pan du neuvième art belge.Le journal Tintin fait son grand retour! Le temps d’un numéro spécial unique et historique ! Les éditions Lombard se sont associées aux éditions Moulinsart pour réaliser cette prestigieuse édition de plus ou moins quatre cents pages, réunissant plus de quatrevingts auteur(e)s rendant hommage aux héros de plusieurs générations, à travers de courts récits élaborés spécialement pour l’occasion. Dès le 8 septembre, vous pourrez également découvrir le tome deux de La grande aventure du journal Tintin qui sortira le même jour. De grands auteurs ayant fait l’histoire du périodique y seront présents. À l’instar du premier tome, ce recueil reprendra des histoires courtes parues dans l’édition belge du journal Tintin en plus des histoires courtes publiées exclusivement dans l’édition française. Dans la continuité de ses projets éditoriaux, Le Lombard éditera également un ouvrage réunissant les dessins de La plus grande image du monde sous forme d’un immense leporello (livre en accordéon) de plus de quinze mètres. Pour la petite histoire, entre 1972 et 1973, Turk & De Groot sortaient chaque semaine un dessin dans le journal Tintin, invitant les lecteurs à assembler les cinquante-deux pages pour mettre sur pied La plus grande image du monde, une gigantesque fresque urbaine faite de gags. Pour la première fois, cette frise impressionnante sera éditée, à tirage limité.    Centre Belge de la Bande Dessinnée Bienvenue en Lombardie  Le journal Tintin spécial 77 ans a été présenté lors d’une conférence au BD Comic Strip Festival. Depuis le 9 septembre 2023, le Centre Belge de la Bande Dessinée héberge l’exposition « Le Lombard, une affaire de famille ». Programmée jusqu’au 25 août 2024, elle a étéimaginée par Thierry Bellefroid et scénographiée par l’agence Drôles & Co d’Ezilda Tribot. Les visiteurs pénétreront dans des salles représentant les héros de chaque âge via des documents inédits, des archives, des reproductions, des originaux, des projections et des photos des auteurs. Le catalogue va du patrimonial au contemporain, en passant par la jeunesse. La conception inédite, ludique et inventive sous forme de showroom d’ameublement représente avec brio la dimension familiale pour célébrer et découvrir, de pièce en pièce, l’histoire et les personnages du Lombard, puis l’incroyable évolution de la bande dessinée qui s’est déroulée en parallèle avec celle de la société et du monde de l’édition.  Ouvrez l’oeil ! La ville sera habillée aux couleurs des héros du Lombard.     Le journal Tintin Numéro spécial 77 ans Le Lombard | 29,90 €      
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    L'imaginaire

    Un monde imaginaire   Le Fantasy Le merveilleux n’a cessé de fasciner depuis des siècles. Les contes transmis oralement autrefois et les oeuvres fantastiques emblématiques ont permis à un nouveau genre de se faire une place, jusqu’à devenir un courant à part entière. C’est dans les années trente que de nombreux auteurs ont dévoilé cet univers dans lequel tout devient possible. En effet, Robert E. Howard, C. S. Lewis et J. R. R. Tolkien ont contribué à le faire briller en créant des mondes qui ont pris vie et se sont inscrits dans l’histoire. Prenons l’exemple de J. R. R. Tolkien qui a créé de toute pièce son propre univers. S’inspirant de nombreux mythes, J. R. R. Tolkien a passé sa vie à mettre sur pied et structurer ce monde complexe. Depuis, Le Hobbit et Le Seigneur des anneaux ont vu énormément de dérivés. Ces oeuvres fondamentales ont marqué les esprits, mais également le marché du divertissement sous toutes ses formes.                            Dystopie   Bien que souvent liée à la science-fiction, la dystopie est une oeuvre d’anticipation décrivant le monde tel qu’il pourrait devenir. Désignant les dérives possibles de notre société en se basant sur l’actualité, ces histoires anticipent le sort de l’humanité avec pessimisme. Les premiers gros succès de ces fables sociologiques à but préventif se sont inspirés des ennemis de la démocratie, c’est-à dire les principaux régimes politiques du XXe siècle. Présentés au monde via 1984 de George Orwell, Le meilleur des mondes d’Aldous Huxley ou encore Fahrenheit 451 de Ray Bradbury, ces classiques ont donné naissance à des auteur·es qui ont popularisé le genre. Entre autres, Margaret Atwood avec La servante écarlate et Suzanne Collins avec Hunger Games.                                                                 Horreur   Tandis que le fantastique et la fantasy relèvent d’un surnaturel pas forcément effrayant, le genre horrifique est de nature plus sombre. Autrefois, nous retrouvions ce côté obscur dans les contes pour enfants, qui ont été édulcorés au fil du temps. Au XIIIe siècle, les histoires surfaient sur l’influence de l’Inquisition, puis cela a été amené à travers les romans gothiques (Frankenstein de Mary Shelley et Dracula de Bram Stoker sont considérés comme les pionniers) du XVIIIe siècle pour se tourner progressivement vers des oeuvres macabres qui dénoncent la société, les violences et la décadence. Au XXe siècle, les auteurs s’inspirent du policier, du fantastique et de la sciencefiction, faisant briller les années septante, en permettant un renouveau et une expansion. Alfred Hitchcock, H. P. Lovecraft et Stephen King font partie des auteurs emblématiques qui suscitent angoisse, frissons et malaise.                                                 La Mythologie   La mythologie nordique J. R. R. Tolkien, grande référence de l’imaginaire, s’est fortement inspiré du folklore scandinave. Ces légendes ont inspiré de nombreuses oeuvres de Neil Gaiman, dont American Gods, le conte Odd et les Géants de Glace. Son étude l’a amené à résumer ce qu’il a appris dans son recueil d’histoires La mythologie viking. Chez George R. R. Martin, les références scandinaves dans Game of Thrones se font sur de nombreux niveaux et à travers plusieurs dimensions. Nous retrouvons aussi des aspects de cette mythologie dans la saga Magnus Chase et les Dieux d’Asgard de Rick Riordan, la série jeunesse Bjorn aux enfers de Thomas Lavachery et la saga Grisha de Leigh Bardugo. Dans celle-ci, cela se ressent dans la culture de certains royaumes, notamment celui de Fjerda. Vous l’aurez compris, les oeuvres puisant leur inspiration dans les légendes scandinaves sont nombreuses.                                                La mythologie grecque  Cette mythologie est un trésor d’histoires extraordinaires et captivantes. Son influence s’est manifestée dans d’innombrables oeuvres et continue dans la littérature contemporaine. Les séries Percy Jackson, Héros de l’Olympe et Les Travaux d’Apollon de Rick Riordan sont connues pour exploiter la mythologie grecque avec modernité, humour et suspense. Tandis que David Gemmell s'inspire de la guerre de Troie de façon très intéressante dans sa saga Troie, Bernard Werber mêle science-fiction et mythologie grecque dans le Cycle des dieux. Chacun à sa façon se réapproprie les personnages historiques. Même J. K.Rowling y a trouvé de l’inspiration pour écrire Harry Potter. Elle y a intégré de nombreuses références. À côté de cela, Alexandra Bracken a su proposer un “Hunger Games” de la mythologie grecque plein d’action avec Lore. Une catégorie de livres fait récemment fureur : englobant la fantasy et la romance, comme Hadès et Perséphone, La Saga d’Auren ou encore Witch and God brillent de leur succès. Hugo BD joue aussi sur la tendance avec le webtoon Lore Olympus.                                               Les créatures de l'imaginaire Les dragons Impressionnant par sa taille, sa force et sa capacité à cracher du feu, le dragon est exploité dans différents récits. Parmi les créatures imaginaires de J. R. R. Tolkien, si Smaug est l’antagoniste dans Le Hobbit, Ancalagon est considéré comme le plus grand de tous les dragons et décrit comme le premier dragon ailé de la Terre du Milieu. Du côté de Robin Hobb, sa série Les Cités des Anciens est majoritairement consacrée aux dragons. Et puis, qui n’a pas entendu parler des dragons de Game of Thrones ou encore de Saphira dans Eragon ? En revanche, vous ne connaissez peut-être pas la réécriture de conte Déracinée de Naomi Novik dans laquelle le dragon Sarkan est un personnage hors norme. Même Stephen King s’y est mis avec Les yeux du dragon.              Les Faes Les Faes sont issues du folklore celtique. Ces créatures honorables et respectueuses des promesses craignent le fer. Il existe plusieurs races de Faes regroupées en trois espèces différentes : les Faes sauvages, les Faes élémentaires (Nymphes) et les Faes humanoïdes. Grâce à des auteurs comme Margaret Rogerson, Holly Black, Sarah J. Maas ou encore Elise Kova, ce peuple magique, maître des illusions, est de nouveau au goût du jour.                          Les vampires Dracula représente l’essence même du mythe du vampire. Popularisé par Bram Stocker, le vampire est à chaque fois réinventé. Il a toujours été dépeint comme un personnage blafard, mystérieux et charmant. Dans Entretien avec un vampire, d’Anne Rice, nous constatons que Lestat est représenté différemment. Celui-ci fait face à sa nature violente tout en mettant en lumière les parts d’ombre de l’être humain. Dans une approche plus contemporaine et inédite, Edward Cullen, dans Twilight, illustre l’interdit et le danger face à l’innocence et à la candeur. Aujourd’hui, la saga Assoiffés de Tracy Wolff continue sur la lancée en prônant une mythologie du vampire fraîchement revisitée.                     La Magie Les pouvoirs de l’imagination sont en quelque sorte une forme très puissante de magie. Dans les fictions de l’imaginaire, la magie est considérée comme une source d’énergie, une force et une puissance effective. Elle peut être dissimulée, mais également connue et acceptée par tous, tout comme elle est pratiquée et enseignée. Par exemple, dans la high fantasy, elle est naturellement présente, tandis que dans des sagas fantastiques telles que Harry Potter, elle se révèle aux protagonistes qui apprennent à la maîtriser tout en initiant progressivement les lecteurs aux mystères de ce monde imaginaire. Par-delà la magie de Tom Felton va vous saupoudrer de nostalgie. Dans cette autobiographie, l’acteur revient sur sa carrière dans Harry Potter, les films mythiques et pleins de magie qui l’ont propulsé à l’âge de douze ans sous les projecteurs. Pour l’occasion, nous vous avons déniché des marque-pages autour de l’univers onirique. Des signets magnétiques mystiques pour s'évader en compagnie d’outils très esthétiques. Nous avons également pensé aux friands de tours de magie ! Découvrez des coffrets permettant d’organiser un véritable spectacle de magie et d’avoir recours à des expériences à la fois magiques et scientifiques.         L’imaginaire au service de la créativité L'imagination transcende les frontières de la littérature, s'étendant bien au-delà des pages d'un livre. Elle prend vie dans chaque coin de notre esprit, façonnant des mondes insoupçonnés et des idées étincelantes. L'imagination est une force vitale, le carburant qui alimente nos créations les plus audacieuses. L'écriture, telle une baguette magique, transforme les mots en univers parallèles où les héros naissent de lettres et d'émotions enchevêtrées. Les pages deviennent des portails vers des réalités imaginaires. La peinture déverse des arcs-en-ciel d'idées sur des toiles blanches, faisant danser les couleurs au gré des émotions et des visions de chacun. Toute création conçue à partir du terreau de l’imaginaire ouvre une certaine conception du possible, à la surprise, à l’onirique et à l’aventure. En fin de compte, l'imagination est la magie qui réside en nous, prête à transformer le banal en extraordinaire, à éveiller notre curiosité et à libérer les ailes de la créativité. Exprimez-vous et laissez-nous vous guider et vous conseiller grâce à notre large gamme de produits !                    Onirisme L’imaginaire se révèle dans la puissance du rêve, la force du symbole et le rendement de l’image. La beauté de l’onirisme réside également dans la magie de l’esprit, là où tout est possible.                          
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    ONLIT editions

    Made In Belgium On vous présente une maison d'édition Belge : ONLIT éditions ONLIT Éditions se consacre à l'exploration et à la  diffusion de la création littéraire contemporaine. Basée à Bruxelles, la maison publie avec passion et exigence des romans, principalement d'autrices et d'auteurs belges. Son catalogue présente des oeuvres signées Ariane Le Fort, Juan d'Oultremont, Isabelle Wéry, Stefan Liberski, Pascale Toussaint, Marcel Sel, ou encore Pascale Fonteneau. Elle a été distinguée à maintes reprises par des prix littéraires. De nombreux titres de son catalogue ont été traduits ou coédités à l'étranger, notamment à Paris en collaboration avec les Éditions des Équateurs. En cette rentrée littéraire, ONLIT s'associe à la maison parisienne pour la réédition du bouillonnant Écume de Véronique Bergen, la plus rock-and-roll de nos académiciennes.                                                                                                               POP de Sophie Museur 927 de Tuyêt-Nga Nguyên Comment (et pourquoi) j'ai mangé mon amant de Pascale Fonteneau       Retrouvez ONLIT editions sur notre site