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Ein sonderbar' Ding, der "Rosenkavalier". Da hatte sich Richard Strauss mit Salome und Elektra gerade einen Ruf als Bürgerschreck auf der Opernbühne erarbeitet, war, wie er selbst schrieb, "an die Grenzen der Aufnahmefähigkeit heutiger Ohren" gegangen - um dann zusammen mit seinem Librettisten Hugo von Hofmannsthal das Publikum ausgerechnet mit den anachronistisch wehenden Walzern einer Hochadelskomödie in einem imaginierten Wien eines fantasierten 18. Jahrhunderts zu erobern. Das Wunderbare an dieser Sonderlichkeit ist dabei, dass Strauss und Hofmannsthal das Künstliche dieser Welt in Sprache und Musik auf die Spitze treiben und zu einem traum- und albtraumhaften Szenarium anwachsen lassen, in dem Platz ist für all die Themen, die den "Rosenkavalier" so bestechend machen: die Möglichkeiten und die Unmöglichkeit von Liebe, die Dringlichkeit und die Unerbittlichkeit der vergehenden Zeit, die Unverzichtbarkeit und unerbittliche Bedingtheit von Autonomie und Entscheidungsfreiheit. Barrie Koskys "Rosenkavalier" zollt auch meist weniger rezipierten Quellen des Werks wie der französischen Operette "L'Ingenu libertin" von Claude Terrasse und Louis Artus Tribut, fügt den liebgewonnenen Figuren von Sophie und Octavian, Ochs und Marschallin dadurch überraschende Facetten hinzu und erweitert in opulenten Bildern die Münchner Inszenierungsgeschichte des Werkes um ein aufregendes Kapitel.