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Lucien Jeanperrin est né en 1921, dans un petit village de Lozère. Il a commencé à travailler, en 1935, à la Verrerie de Noisy-le-Sec (près de Paris). Il a vécu la grève de 1936 et, au cours de celle-ci, il prend sa première carte syndicale à la Fédération nationale des verriers CGT. En 1940, la Verrerie de Noisy ayant cessé ses activités, il va travailler à la Verrerie Guilbert Martin, à Saint-Denis. Le S.T.O. le contraint à passer plusieurs mois en Allemagne, d’où il parviendra à revenir en France, et rentrer dans la clandestinité parce que recherché par la police. Après la Libération, il reprend son nom et retourne travailler à la Verrerie de Saint-Denis. Il reconstitue la section syndicale CGT, met en place le Comité d’entreprise et sera secrétaire de l’une et de l’autre. En 1946, il est secrétaire adjoint du syndicat des Verriers de la Région parisienne et, en 1947, secrétaire général de la Section fédérale de la Région parisienne. Au Congrès de 1946 de la Fédération nationale des travailleurs du verre CGT, il est élu membre de la commission exécutive ; en 1949, il est membre du bureau fédéral ; en 1959, il est élu secrétaire général. Réélu à chaque Congrès, il demandera à prendre sa retraite en 1981. Il participera à l’activité internationale à partir de 1964, au sein de la Commission du verre et de la céramique de l’Union internationale des travailleurs des industries chimiques et similaires. Il présidera cette Commission pendant plusieurs années, jusqu’en 1983. Pendant 28 ans, il exercera la fonction de conseiller Prud’hommes. Dans cette période, il assurera pendant 12 ans, alternativement, la vice-présidence et la présidence du conseil des Prud’hommes de la Seine. En écrivant ce livre sans prétentions historiques, faisant beaucoup appel à sa mémoire, il donne cependant des éléments de la vie de l’activité syndicale des travailleurs du verre, du temps jadis à nos jours, ainsi que l’origine de la Fédération.